L'histoire secrète de l'espèce Humaine (3/6)

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Science & Conscience - parapsychologie - métaphysique

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    L'histoire secrète de l'espèce Humaine (3/6)

    Marc
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    Message par Marc Sam 18 Avr - 18:43

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    - Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi un évolutionniste convaincu, comme Holmes, voudrait tout faire pour jeter le discrédit sur une information qui ferait reculer trop loin dans le passé l’existence d’êtres humains sous leur forme actuelle. Qu’est-ce qui rendait Holmes si sûr de lui ?
    L’une des raisons était la découverte par Eugène Dubois, en 1891, de l’Homme de Java (Pithecanthropus erectus), salué comme le chaînon manquant tant attendu entre l’être humain moderne et son ancêtre simien supposé.

    Dans la controverse suscitée par l’Homme de Java, ses partisans ne pouvaient tolérer le moindre témoignage indiquant que des humains de type moderne existaient avant lui, et Holmes était l’un de ses principaux zélateurs. À propos des découvertes californiennes, il disait : « Il est probable que, faute d’autre soutien, ces témoignages finiraient par lâcher prise et disparaître ; mais la science ne peut se permettre d’attendre l’achèvement de ce laborieux processus de sélection. Il faut tenter quelque chose pour hâter la décision. » Holmes, Sinclair et d’autres s’acquittèrent de leur tâche au moyen parfois de procédés douteux.

    Alfred Russell Wallace, qui fut avec Darwin l’un des pères de la théorie de l’évolution par la sélection naturelle, a lui-même regretté que les témoignages de l’existence d’êtres humains anatomiquement modernes au Tertiaire aient tendance à être « attaqués de toutes parts avec les armes du doute, de l’accusation et du ridicule ».

    Les découvertes d’outils du Tertiaire identiques à ceux que fabriquaient les hommes modernes devinrent vite une source d’embarras, le genre de choses qu’il valait mieux oublier sous peine de paraître démodé. Ce comportement prévaut encore aujourd’hui, à tel point que les témoignages qui perturbent, même très légèrement, les théories dominantes sur la préhistoire humaine sont purement et simplement supprimés.

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    TÉMOIGNAGES D’UNE CULTURE AVANCÉE DANS UN LOINTAIN PASSÉ

    - Jusqu’à présent, la plupart des témoignages que nous avons examinés donnent l’impression que, même s’il existait des humains dans un passé éloigné, ils en étaient encore à un niveau culturel et technologique quelque peu primitif. On pourrait donc se poser la question suivante : s’il a fallu tant de temps aux humains pour perfectionner leur savoir-faire, pourquoi ne trouve-t-on pas d’objets anciens révélateurs des progrès d’une civilisation ?

    Non seulement ces objets sont nettement plus perfectionnés que des outils de pierre, mais ils ont été retrouvés dans des contextes géologiques bien plus anciens que tout ce que nous avons envisagé jusqu’ici.

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    Les artefacts d’Aix-en-Provence, France

    - Dans son livre Minéralogie, le comte de Bournon a rapporté une étrange découverte faite par des ouvriers français à la fin du XVIIIe siècle.

    - Il donnait à ce propos les précisions suivantes :

    « Au cours des années 1786, 1787 et 1788, ils travaillaient près d’Aix-en-Provence, en France, dans une carrière de pierre pour la reconstruction sur une vaste échelle du palais de justice. La pierre était un calcaire gris foncé dont les moellons sont tendres quand ils sortent de la carrière, mais se durcissent au contact de l’air. Les strates étaient séparées l’une de l’autre par une couche de sable mêlé d’argile plus ou moins calcareuse.
    Les premiers bancs de pierre exploités ne présentaient aucune trace de corps étrangers, mais après que les ouvriers eurent débardé les dix premiers bancs, ils furent surpris en extrayant le onzième de trouver sa surface inférieure à une profondeur de quarante ou cinquante pieds couverte de coquillages. Quand la pierre de ce banc eut été débardée, tandis qu’ils dégageaient une strate de sable qui séparait le onzième banc du douzième, ils trouvèrent des tronçons de colonnes et des fragments de pierre à demi travaillés, et la pierre était exactement similaire à celle de la carrière ;
    ils découvrirent en outre des coins, des manches de marteau et d’autres outils ou fragments d’outils en bois. Mais ce qui attira principalement leur attention c’était une planche épaisse d’environ un pouce et longue de sept ou huit pieds ; elle était brisée en de nombreux morceaux dont aucun ne manquait, et il était possible de les remettre bout à bout pour rendre à la planche sa forme originale, qui était celle des planches du même genre qu’utilisent aujourd’hui les maçons et les carriers : elle était usée de la même manière, arrondie et ondulée sur les bords. »

    Poursuivant sa description, le comte de Bournon déclarait :

    « Les pierres qui étaient complètement ou partiellement travaillées n’avaient nullement changé de nature, mais les fragments de la planche et des instruments ainsi que des morceaux d’outils de bois s’étaient transformés en agate très fine et agréablement colorée. Nous avons donc ici les traces d’un travail exécuté par la main de l’homme à une profondeur de cinquante pieds et recouvertes de onze couches de calcaire compact : tout tendait à prouver que ce travail avait été exécuté sur place. La présence de l’homme avait donc précédé la formation de cette pierre, et ce depuis bien longtemps puisqu’il était déjà parvenu à un tel degré de civilisation qu’il connaissait les arts et travaillait la pierre pour en faire des colonnes. »

    Ces passages sont parus dans l’American Journal of Science en 1820 ; aujourd’hui, toutefois, il est peu probable qu’un tel témoignage figure dans les pages d’un journal scientifique. La science ne prend tout simplement pas au sérieux ce genre de découvertes

    Des lettres dans un bloc de marbre, Philadelphie

    En 1830, des formes semblables à des lettres furent découvertes dans un bloc de marbre provenant d’une carrière à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Philadelphie. Le bloc de marbre avait été extrait à une profondeur de 18 à 21 mètres. Cette trouvaille fut rapportée dans l’American Journal of Science en 1831.

    Pour parvenir au banc de pierre dans lequel avait été scié le bloc portant les motifs en forme de lettres, les ouvriers carriers avaient d’abord enlevé des couches de gneiss, de schiste micacé, de hornblende, de schiste talqueux et de schiste argileux primitif.

    Tandis qu’ils découpaient le bloc, les ouvriers remarquèrent un renfoncement rectangulaire large d’environ 4 centimètres sur un 1,6 centimètre de haut, présentant deux caractères en relief (ill. 44). Plusieurs notables de la ville voisine de Norristown, en Pennsylvanie, furent appelés sur les lieux pour examiner l’objet. Il est difficile d’expliquer la formation de ces caractères par l’intervention de processus physiques naturels. Cela donne à penser qu’ils ont été gravés par des humains intelligents dans un lointain passé.

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    Un clou dans du grès dévonien, Écosse

    - En 1844, sir David Brewster rapporta qu’un clou avait été découvert fermement enfoncé dans un bloc de grès de la carrière de Kingoodie (Mylnfield) en Écosse. Le Dr A.W.
    Medd du Service de recherches géologiques britannique nous a informés dans un courrier daté de 1985 que cette roche fait partie d’une formation de « vieux grès rouge inférieur » (dévonien, vieux de 360 à 408 millionsd’années). Brewster était un célèbre physicien écossais. Il comptait parmi les fondateurs de l’Association britannique pour le progrès de la science et a fait d’importantes découvertes dans le domaine de l’optique.

    Dans sa communication à l’Association britannique pour le progrès de la science, Brewster déclarait :

    « La roche de la carrière de Kingoodie se compose de couches alternées de pierre dure et d’une matière argileuse meuble appelée “tillite” ; les bancs de pierre ont une épaisseur qui va de six pouces à plus de six pieds. Le bloc dans lequel a été trouvé le clou était épais de neuf pouces, et c’est en travaillant à dégrossir le bloc pour l’apprêter que l’on a trouvé la pointe du clou (rongée par la rouille) dépassant d’environ un demi-pouce dans la “tillite”, le reste du clou longeant la surface de la pierre jusqu’à moins d’un pouce de la tête, qui s’enfonçait tout droit dans la roche même. »

    Le fait que la tête du clou était fichée dans le bloc de grès semble exclure la possibilité que le clou ait étéplanté dans le bloc après son extraction

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    Un fil d’or dans la roche carbonifère, Angleterre

    - Le 22 juin 1844, le Times de Londres fit paraître cette curieuse nouvelle :
    « Il y a quelques jours, alors que des ouvriers s’employaient à extraire un bloc de pierre près de la Tweed à environ un quart de mile sous Rutherford-mill, un fil d’or fut découvert incrusté dans la roche à une profondeur de huit pieds. »

    Le Dr A.W. Medd du Service de recherches géologiques britannique nous a écrit en 1985 que cette pierre date du Carbonifère inférieur entre 320 et 360 millions d’années.

    Un vase métallique dans les roches précambriennes de Dorchester, Massachusetts

    L’entrefilet suivant, intitulé « Une relique du passé », est paru dans le magazine Scientific American (le 5 juin 1852) :

    « Voici quelques jours, on a fait exploser la roche de Meeting House Hill, à Dorchester, à quelques dizaines de mètres du temple du révérend Hall. L’explosion a dégagé une immense masse de rochers, lourds parfois de plusieurs tonnes, et dispersé des fragments dans toutes les directions. On a retrouvé parmi eux un récipient métallique en deux parties, fendu par l’explosion.
    Une fois reconstitué, il formait un vase en forme de cloche haut de 4 pouces et demi, large de 6 pouces et demi à la base et de 2 pouces et demi au sommet, et d’une épaisseur d’environ un huitième de pouce. La matière de ce récipient ressemble par sa couleur à du zinc, ou à un alliage contenant une quantité considérable d’argent. Sur le flanc, six fleurs sont représentées en bouquet joliment incrusté en argent pur et tout autour de la base une guirlande d’argent est aussi incrustée.

    Le travail de ciselage, de gravure et d’incrustation témoigne d’un art consommé. Ce récipient curieux et inconnu a été soufflé par l’explosion alors qu’il se trouvait au cœur d’une couche dense de poudingue à quinze pieds sous la surface. Il est à présent en la possession de M. John Kettell. Le Dr J.V.C. Smith, qui a récemment voyagé en Orient et qui a examiné des centaines d’ustensiles domestiques curieux et en a gardé des dessins, n’a jamais rien vu de semblable. Il en a fait un croquis et a mesuré ses dimensions précises pour les soumettre au monde scientifique. Il n’est pas douteux que cette curiosité a été soufflée hors de la roche, comme nous l’avons dit ;
    mais le professeur Agassiz, ou quelque autre homme de science, pourrait-il nous dire comment l’objet y est parvenu ?
    La question vaut d’être étudiée et il n’y a pas, en l’occurrence, de contrefaçon. »

    Les rédacteurs du Scientific American remarquaient avec une pointe d’ironie :

    « Cette information est tirée du Transcript de Boston, et ce qui nous étonne, pour notre part, c’est que le Transcript puisse considérer le professeur Agassiz comme plus qualifié pour dire comment l’objet est arrivé là que John Doyle, le forgeron. Il ne s’agit pas ici d’une question de zoologie, de botanique ou de géologie, mais d’un antique récipient de métal fabriqué peut-être par Tubal Cain, le premier habitant de Dorchester. »

    Si l’on s’en rapporte à une carte récente de la région de Boston-Dorchester établie par le Service de recherches géologiques américain, le poudingue, désigné aujourd’hui sous le nom de conglomérat de Roxbury, date du Précambrien, voici plus de 600 millions d’années.

    D’après la chronologie officielle, la vie commençait à peine à se former sur cette planète durant le Précambrien. Mais avec le vase de Dorchester, nous avons un témoignage de la présence d’artisans chaudronniers en Amérique du Nord plus de 600 millions d’années avant Leif Erikson.


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      La date/heure actuelle est Ven 17 Mai - 8:13