L'histoire secrète de l'espèce Humaine (5/6)

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    L'histoire secrète de l'espèce Humaine (5/6)

    Marc
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    Message par Marc Sam 18 Avr - 18:40

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    Une pierre gravée trouvée dans la mine de charbon de Lehigh, près de Webster

    - Iowa Le 2 avril 1897, le Daily News d’Omaha, au Nebraska, publia un article intitulé « Une pierre gravée enfouie dans une mine », qui décrivait un objet découvert près de Webster City, en Iowa.
    L’article rapportait :

    « Alors qu’il travaillait aujourd’hui dans la mine de charbon de Lehigh, à une profondeur de 130 pieds, un des mineurs a trouvé un bloc rocheux qui l’a intrigué et dont il ne peut expliquer la présence au fond de la mine. La pierre est de couleur gris sombre et est longue d’à peu près deux pieds sur un pied de large et quatre pouces d’épaisseur. Sur la surface de la pierre, qui est très dure, des lignes ont été tracées de façon à se croiser pour former de parfaits diamants. Au centre de chaque diamant est représenté un visage de vieillard aux traits bien dessinés avec un renfoncement particulier sur le front qui apparaît sur chacun des dessins, tous remarquablement semblables. Tous les visages sauf deux sont tournés vers la droite. Comment cette pierre est-elle arrivée là sous les strates de grès à une profondeur de 130 pieds ? C’est une question à laquelle les mineurs ne peuvent répondre. Ce dont ils sont sûrs en revanche, c’est qu’à l’endroit où elle a été découverte, la terre n’avait jamais été dérangée auparavant. »

    Les demandes de renseignement que nous avons adressées à l’Association de conservation des monuments et sites historiques de l’État d’Iowa et au Bureau d’archéologie de l’université de l’Iowan’ ont rien donné de plus. Le charbon de Lehigh date probablement du Carbonifère .... Soit 360 Millions d'années

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    Un gobelet de fer provenant d’une mine de charbon en Oklahoma

    - Le 10 janvier 1949, Rober Nordling fit parvenir la photographie d’un gobelet de fer à Frank L. Marsh de l’Andrews University, à Berrien Springs, dans le Michigan. Nordling écrivait :

    « J’ai visité le musée d’un de mes amis dans le sud du Missouri. Entre autres curiosités, il possède le gobelet de fer représenté sur la photo ci-jointe. »

    Dans le musée privé, le gobelet de fer était exposé à côté d’une déclaration sous serment de FrankJ. Kenwood de Sulphur Springs, en Arkansas, datée du 27 novembre 1948 :

    « Lorsque je travaillais à la centrale électrique municipale de Thomas, en Oklahoma, je suis tombé, un jour de 1912, sur un morceau de charbon trop gros pour être utilisé tel quel. Je l’ai brisé avec un marteau. Ce pot de fer est tombé de son milieu, laissant l’empreinte ou le moulage du pot dans le morceau de charbon. Jim Stall (un employé de la compagnie d’électricité) était témoin et il a vu le pot tomber.
    J’ai cherché à connaître l’origine du charbon et j’ai appris qu’il provenait des mines de Wilburton, en Oklahoma. »

    Selon Robert O. Fay, du Service de recherches géologiques d’Oklahoma, le charbon de la mine de Wilburton est vieux d’environ 312 millions d’années.

    En 1966, Marsh envoya la photo du gobelet et le courrier qui s’y rapportait à Wilbert H. Rush, professeur de biologie au Concordia College d’Ann Arbor, dans le Michigan. Marsh précisait :

    « Ci-joint la lettre et la photo que j’ai reçues de Robert Nordling voici dix-sept ans. Quand j’ai commencé à m’intéresser à ce “pot” (dont la taille peut être appréciée par comparaison avec le dossier de la chaise sur laquelle il est posé) un ou deux ans plus tard, j’ai appris que cet “ami” de Nordling était mort et que les collections de son petit musée avaient été dispersées. Nordling n’avait aucune idée de ce qu’a pu devenir le gobelet de fer.
    Il faudrait un fin limier pour remettre la main dessus (...). Si ce gobelet est vraiment ce qu’on jure qu’il est, c’est sans conteste un artefact des plus importants. »

    Il est regrettable que des témoignages comme ce gobelet de fer finissent souvent par s’égarer à force de passer de main enmain sans qu’on prenne pleinement conscience de leur signification

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    Une semelle de chaussure au Nevada

    - Le 8 octobre 1922, dans la rubrique American Weekly du New York Sunday American, paraissait sous la signature du Dr W.H. Ballou un article intitulé
    « Le mystère de la “semelle” pétrifiée vieille de 5 000 000 d’années ».

    Ballou écrivait : « Voici quelque temps, alors qu’il cherchait des fossiles dans le Nevada, John T. Reid, ingénieur des mines et géologue distingué, se figea soudain et contempla un rocher à ses pieds avec une extrême stupéfaction.
    Là, dans la roche elle-même, il y avait ce qui semblait être une empreinte de pied humain ! (ill. 49) Un examen plus minutieux lui apprit que ce n’était pas une empreinte de pied nu, mais, apparemment, une semelle de chaussure pétrifiée.
    La partie avant manquait, mais il restait le contour d’au moins les deux tiers, et le long de ce contour, on voyait distinctement la trace d’un fil cousu qui avait attaché la semelle à la chaussure.

    À l’intérieur, on remarquait une autre couture
    et au centre, là où devait être posé le pied si l’objet en question était bien une semelle, il y avait un creux, exactement comme celui qu’aurait laissé le talon en usant par friction le matériau dont la semelle était faite. C’est ainsi que fut découvert un fossile qui constitue aujourd’hui le plus grand mystère de la science, car la roche dans laquelle il se trouvait est vieille d’au moins 5 000 000 d’années. »

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    Les microphotographies donnent un grossissement de vingt fois par rapport au spécimen lui- même, montrant les moindres détails de la torsion et des fibres du fil, ce qui prouve de façon concluante qu’il ne s’agit pas d’une ressemblance, mais d’une semelle de chaussure fabriquée par l’homme.

    Même à l’œil nu, les fils sont bien visibles, ainsi que les contours parfaitement symétriques de la semelle.
    Le long du bord, on distingue une ligne parallèle régulièrement perforée comme par les points de couture. Je pourrais ajouter qu’au moins deux géologues dont les noms seront un jour divulgués ont admis la validité de cette semelle et de sa fossilisation authentique dans les roches du Trias. »
    Aujourd’hui, l’âge des formations triasiques est estimé à beaucoup plus que 5 millions d’années. On situe le Trias entre 213 et 248 millions d’années avant notre époque

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    Un mur de blocs dans une mine de l’Oklahoma

    - W.W. McCormick d’Abilene, au Texas, a rapporté le récit de son grand-père à propos d’un mur découvert au fond d’une mine de charbon : « En l’an 1928, moi, Atlas Almon Mathis, je travaillais à la mine de charbon n° 5, située à deux miles au nord d’Heavener, en Oklahoma. C’était une mine souterraine et on nous disait qu’elle allait jusqu’à deux miles sous la surface.
    La mine était si profonde qu’on nous faisait descendre dans un ascenseur (...). On nous envoyait de l’air par une pompe ; c’était si profond. » Ce récit a été repris dans un livre de Brad Steiger. Un soir, Mathis faisait sauter le charbon à l’explosif pour le disloquer dans la « chambre 24 » de cette mine. « Le lendemain matin, raconta Mathis, il y avait plusieurs blocs de parpaing éparpillés dans la chambre.

    Ces blocs étaient des cubes de 12 pouces si lisses et polis à l’extérieur que les six faces auraient pu servir de miroir. Pourtant ils étaient remplis de gravier ; j’en ai fendu un avec ma pioche et c’était du parpaing ordinaire à l’intérieur. » Mathis ajoutait :

    « Au moment où j’ai commencé à étançonner la chambre, elle s’est affaissée, et je m’en suis tiré de justesse. Quand je suis revenu après l’effondrement, tout un mur de ces blocs polis avait été dégagé. Environ 100 à 150 yards plus bas que notre galerie, un autre mineur est tombé sur le même mur, ou sur un mur très similaire. »

    Le charbon de la mine datait probablement du Carbonifère, ce qui voudrait dire que le mur était vieux d’au moins 286 millions d’années.

    Selon Mathis, la direction de la compagnie minière a immédiatement fait sortir les hommes et leur a interdit de parler de ce qu’ils avaient vu. La mine fut fermée à l’automne 1928, et le personnel fut affecté à la mine n° 24, près de Wilburton en Oklahoma. Mathis a dit aussi que les mineurs de Wilburton racontaient avoir trouvé « un bloc d’argent massif en forme de tonneau (...) avec dessus les empreintes des douves ». Le charbon de Wilburton s’est formé voici 280 à 320 millions d’années.

    Dans un livre de M.K. Jessup, nous avons trouvé récemment cette autre histoire de mur dans une mine de charbon : « On raconte que James Parsons et ses deux fils ont exhumé un mur d’ardoise dans une mine de charbon de Hammondville, dans l’Ohio, en 1868. C’était un grand mur lisse révélé par l’effondrement d’une masse de charbon, avec à sa surface plusieurs lignes de hiéroglyphes en relief. » Il peut bien sûr s’agir de simples racontars, mais cela pourrait servir aussi de pistes de recherche intéressantes.

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    Des tubes de métal trouvés dans la craie en France

    - Les Français Y. Druet et H. Salfati ont rapporté en 1968 la découverte de tubes métalliques semi-ovales de forme identique mais de taille variable dans les formations de craie du Crétacé (ill. 50). Notre source est l’ouvrage de William R. Corliss, Ancient Man : A Handbook of Puzzling Artifacts.
    Selon les estimations, la couche de craie exploitée dans une carrière de Saint-Jean de Livet est vieille d’au moins 65 millions d’années.

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    Après avoir envisagé et écarté diverses hypothèses, Druet et Salfati sont parvenus à la conclusion que des êtres intelligents devaient avoir vécu il y a 65 millions d’années.

    Dans l’espoir d’obtenir un complément d’information, nous avons écrit au laboratoire de géomorphologie de l’université de Caen auquel, paraît-il, Druet et Salfati ont confié leurs spécimens.
    Mais nous n’avons pas reçu de réponse. Nous invitons nos lecteurs à nous communiquer toutes les informations dont ils pourraient disposer à ce propos, ou sur d’autres cas similaires, afin que nous puissions les inclure dans de prochaines éditions de ce livre.


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      La date/heure actuelle est Ven 17 Mai - 4:29