L'histoire secrète de l'espèce Humaine (4/6)

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    L'histoire secrète de l'espèce Humaine (4/6)

    Marc
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    Message par Marc Sam 18 Avr - 18:42

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    Une boule de craie du Tertiaire à Laon, France

    - Le numéro d’avril 1862 de The Geologist publiait une traduction anglaise d’une étrange information consignée par Maximilien Melleville, le vice-président de la Société académique de Laon, en France. Dans son compte rendu, Melleville décrivait une boule de craie ronde (ill. 45) découverte 75 mètres sous la surface dans les couches de lignite du Tertiaire inférieur près de Laon.

    Le lignite (appelé parfois cendre noire) est un charbon brun de faible densité. Les couches de lignite de Montaigu, près de Laon, se trouvent à la base d’une colline et ont été exploitées au moyen de galeries horizontales. La galerie principale s’enfonçait de 600 mètres au cœur d’une couche de lignite.

    En août 1861, des ouvriers occupés à creuser au bout de la galerie, à 75 mètres sous la surface de la colline, virent un objet rond tombé de la voûte de leur excavation. L’objet mesurait environ 6 centimètres de diamètres et pesait
    310 grammes. Melleville racontait :

    « Ils ont cherché à retrouver la place exacte qu’elle occupait dans la strate et ont ainsi pu établir qu’elle ne provenait pas de l’intérieur de la “cendre”, mais qu’elle était incrustée à son point de contact avec la voûte de la galerie où elle avait laissé son empreinte en creux. » Les mineurs ramenèrent la boule de craie à un certain Dr Lejeune, qui fit part de la nouvelle à Melleville.
    Melleville déclarait ensuite : « Bien avant cette découverte, les ouvriers de la carrière m’avaient déjà informé avoir trouvé à de nombreuses reprises des morceaux de bois pétrifié (...) portant les marques d’un travail humain. Je regrette beaucoup à présent de n’avoir pas demandé à les voir, mais jusqu’ici je ne pouvais croire à la possibilité d’un tel fait. »

    Selon Melleville, rien ne permettait de soupçonner une falsification :

    « Elle est vraiment pénétrée sur les quatre cinquièmes de sa hauteur par une couleur noire bitumeuse qui se fond vers le sommet en un cercle jaune et qui est due manifestement au contact du lignite dans lequel elle est restée si longtemps enfoncée. La partie supérieure, qui était en contact avec la couche conchylienne, a au contraire conservé sa couleur naturelle : le blanc terne de la craie (...). Quant à la roche dans laquelle elle a été trouvée, je puis affirmer qu’elle est parfaitement vierge et ne présente aucune trace de quelque ancienne exploitation. La voûte de la galerie était intacte à cet endroit et on ne voit ni fissure ni aucune autre cavité par laquelle cette boule aurait pu tomber d’un niveau supérieur. »

    À propos de l’éventuelle facture humaine de l’objet de craie, Melleville se montrait prudent. Il écrivait :

    « À partir d’un seul fait, fut-il aussi bien établi, je ne prétends pas tirer la conclusion extrême que l’homme était contemporain des lignites du bassin parisien (...). Mon seul objectif en rédigeant cette notice est de faire connaître une découverte aussi curieuse qu’étrange, quelle que puisse être sa portée, sans prétendre donner une quelconque explication. Je me contente de l’offrir à la science et j’attendrai avant de me former une opinion à cet égard que d’autres découvertes me fournissent les moyens d’apprécier la valeur de celle de Montaigu. »

    Les rédacteurs de The Geologist approuvaient :

    « Il nous semble qu’il fait preuve de sagesse en hésitant à faire remonter l’existence de l’homme à la période tertiaire inférieure du bassin parisien sans autre preuve pour le confirmer. »

    En 1883, Gabriel de Mortillet supposa qu’il s’agissait d’un morceau de craie blanche roulé par les vagues des mers du Tertiaire qui, une fois arrondi, avait été laissé par la marée à l’endroit où on l’avait retrouvé.

    Toutefois, cette explication ne paraît pas très plausible. Tout d’abord, la boule présentait certaines caractéristiques incompatibles avec l’action des vagues.

    Melleville rapportait :
    « Troisgrands éclats aux arêtes vives témoignent aussi qu’elle est restée attachée au bloc de pierre dans lequel elle a été façonnée et qu’elle n’en a été séparée qu’une fois achevée, d’un seul coup, auquel cette sorte de fracture est due. »

    Si l’on retient l’action des vagues comme explication de la forme arrondie de l’objet, les arêtes vives décrites par Melleville auraient dû également être émoussées.
    Par ailleurs, il est probable qu’un long séjour dans l’eau aurait désintégré un morceau de craie.
    Mortillet assurait que la boule avait été découverte dans une strate de l’Éocène inférieur.
    Si ce sont des humains qui l’ont façonnée, ils devaient être présents en France voici 45 à 55 millions d’années. Aussi extraordinaire que cette date puisse paraître au regard des théories évolutionnistes en vigueur, elle concorde avec les témoignages envisagés dans ce livre.

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    Objets mis au jour par le creusement d’un puits dans l’Illinois

    - En 1871, William E. Dubois de la Smithsonian Institution fit paraître un article sur plusieurs objets fabriqués par l’homme découverts dans l’Illinois à des niveaux très profonds. Le premier objet était une quasi- pièce de cuivre (ill. 46) trouvée à Lawn Ridge, dans le comté de Marshall, en Illinois. Dans une lettre adressée à la Smithsonian Institution, J.W. Moffit racontait qu’en août 1870 il était occupé à creuser un puits avec un « trépan ordinaire ».
    C’est en ramenant le trépan d’une profondeur de 37,5 mètres qu’il avait découvert cet objet ressemblant à une pièce

    Pour descendre à 37,5 mètres, Moffit a dû traverser les strates suivantes : 90 centimètres de terre ; 3 mètres d’argile jaune ; 13,20 mètres d’argile bleue ; 1,20 mètre d’argile, de sable et de gravier ; 5,70 mètres d’argile pourpre ; 3 mètres de croûte dure de couleur brune ; 2,50 mètres d’argile verte ; 60 centimètres d’humus ; 75 centimètres d’argile jaune ; 60 centimètres de croûte dure de couleur jaune ; et 6,15 mètres d’argile mélangée

    En se basant sur la succession de strates fournie par Winchell, le Service de recherches géologiques de l’État de l’Illinois nous a communiqué une estimation de l’âge que pourraient avoir les sédiments du niveau -33 mètres. Ils ont dû se déposer durant la période interglaciaire du Yarmouthien « voici entre 200 000 et 400 000 ans ».

    Le Service de recherches géologiques de l’État de l’Illinois nous a écrit que l’âge des sédiments situés à une profondeur de 36 mètres dans le comté de Whiteside varie grandement.

    Selon les endroits, on peut trouver des couches vieilles de 50 000 ans seulement ou un soubassement rocheux silurien qui date de 410 millions d’années.

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    Une statuette d’argile à Nampa, Idaho

    - Une statuette humaine adroitement modelée dans l’argile a été retrouvée en 1889 à Nampa, en Idaho (ill. 47). La figurine avait été mise au jour lors du forage d’un puits à une profondeur de 90 mètres. En 1912, G.F. Wright écrivait :

    « Le rapport de forage révèle que pour atteindre la strate d’où la statuette a été remontée, on avait d’abord traversé cinquante pieds de terre, puis une quinzaine de pieds de basalte, et ensuite des couches alternées d’argile et de sables mouvants (...) jusqu’à une profondeur d’environ trois cents pieds où la pompe à sable a commencé à rejeter de nombreuses boules d’argile dont certaines avaient plus de deux pouces de diamètre couvertes d’une épaisse couche d’oxyde de fer.
    Dans la partie inférieure de cette strate, il y avait des signes de fouissage du sol sous une légère accumulation d’humus. C’est de là que la statuette en question a été remontée d’une profondeur de trois cent vingt pieds.
    Quelques pieds plus bas, on atteignait une couche de roche siliceuse. »

    À propos de la figurine, Wright notait :

    « La statue en question est faite de la même matière que les boules d’argile mentionnées plus haut, et mesure environ un pouce et demi de long. La perfection avec laquelle elle représente le corps humain est remarquable (...). C’est une silhouette féminine, et la pureté des formes dans ses parties achevées est digne des grands centres de l’art classique. »

    « Le professeur F.W. Putnam, à qui l’objet a été présenté, a aussitôt souligné la nature des incrustations de fer à la surface qui sont révélatrices d’une ancienneté considérable, écrit encore Wright. Il y avait, à des endroits bien protégés, des taches d’oxyde de fer rouge anhydre qui n’auraient pu être reproduites sur une contrefaçon.
    À l’occasion d’une visite en 1890, j’ai eu grand soin, tandis que j’étais sur le terrain, de comparer la décoloration de l’oxyde sur la statuette avec les traces présentes à la surface des boules d’argile qui se trouvaient encore parmi les débris évacués du puits et j’ai pu vérifier qu’il n’y avait pratiquement aucune différence. Ces éléments de confirmation en plus du témoignage très convaincant fourni par les parties qui ont fait la découverte et corroboré par M. G.M. Cumming, de Boston (à l’époque, directeur de ce département de l’Oregon Short Line Railroad, il connaissait toutes les parties et se trouvait sur les lieux un jour ou deux après la découverte) situaient l’authenticité de la découverte au-delà du doute raisonnable. À quoi il faut ajouter la conformité générale de l’objet avec d’autres reliques retrouvées sous les dépôts de lave de la côte Pacifique

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    2 millions d'années

    - Quand on examine la statuette, on ne peut s’empêcher d’être frappé par sa ressemblance avec de nombreuses “figurines aurignaciennes” découvertes dans des cavernes préhistoriques de France, de Belgique et de Moravie. La similitude avec la “Venus impudica” de Laugerie-Basse est particulièrement saisissante. »

    La statuette de Nampa peut également être comparée à la célèbre Vénus de Willendorf, vieille d’environ 30 000 ans (ill. 48).

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    Hormis l’Homo sapiens sapiens, aucun hominidé n’est réputé avoir façonné des œuvres d’art comme la statuette de Nampa. Les faits semblent donc indiquer que des humains de type moderne vivaient en Amérique voici environ 2 millions d’années, au tournant du Pliocène et du Pléistocène.
    La flagrante contradiction entre la statuette de Nampa et le scénario évolutionniste n’a pas échappé à W.H. Holmes


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    Une chaîne d’or dans le charbon carbonifère de Morrisonville, Illinois

    - Le 11 juin 1891, le Morrisonville Times rapportait :

    « Une curieuse découverte a été faite par Mme S.W. Culp mardi matin. En brisant un morceau de charbon pour le mettre dans le seau qu’elle était en train de remplir, elle découvrit à l’intérieur une petite chaîne d’or enroulée d’une dizaine de pouces de longueur et d’une facture manifestement très ancienne. Tout d’abord Mme Culp pensa que la chaîne était tombée accidentellement dans le charbon, mais lorsqu’elle voulut la prendre, elle s’aperçut aussitôt que ce ne pouvait être le cas, car le morceau de charbon s’était fendu presque en son milieu, libérant la chaîne dont les deux extrémités étaient restées incrustées dans le charbon.

    Voici un beau sujet de réflexion pour les étudiants en archéologie qui aiment à se creuser la tête sur les curieuses énigmes que les antiques entrailles de la terre ne cessent d’engendrer. Le morceau de charbon qui renfermait cette chaîne est censé provenir des mines de Taylorville ou de Pana [au sud de l’Illinois] et on est presque suffoqué à l’idée des nombreuses longues ères qu’il a fallu à la terre pour recouvrir, strate après strate, les maillons d’or. La chaîne était en or à huit carats et pesait douze grammes. »

    Dans une lettre adressée récemment à Ron Calais, l’éditeur du Morrisonville Times précisait :

    « M. Culp était rédacteur en chef et éditeur du Times en 1891. Après sa mort, Mme Culp, qui avait fait la découverte, a déménagé à Taylorville où elle s’est remariée et est décédée le 3 février 1959. »

    Ron Calais a raconté à notre collaborateur Stephen Bernath que, selon ses informations, une parente deMme Culp avait hérité de la chaîne, mais il n’avait pu en retrouver la trace. D’après le Service de recherches géologiques de l’État de l’Illinois, le charbon dans lequel la chaîne a été retrouvée est vieux de 260 à 320 millions d’années. On voit poindre à travers ces témoignages la possibilité que des êtres humains culturellement avancés aient été présents en Amérique du Nord en ces temps reculés.


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      La date/heure actuelle est Ven 17 Mai - 7:03